don't disturb !! but ...

Dès le premier jour je me fais déjà remarqué, c’est pas de ma faute, mais c’est toujours comme ça, mes ardeurs, mon tempérament tout se met en avant pour que les yeux se tourne vers moi. J’aime attiré l’attention, j’aime mon coté rebelle indomptable, dans quelques jours ici bas un tiers des élèves connaîtront mon nom. Aussi bien le corps enseignant que les élèves c’est une question de temps. Si certains ici aime bien se faire insulté de connard, c’est eux que ça regarde moi il en est tout autre chose, tu me regarde soit tu affronte mon regard et ainsi assume tes actes, soit tu baisse les yeux et passe ton chemin. Te frotter a moi serait te frotter a une tornade, tellement destructrice que tu en viendrais a regretter d’avoir croisé mon chemin. Je suis dérangé, j’ai des problèmes mentaux et psychologique, mais je ne suis pas fou étrange n’est il pas. Beau blond tu as croisé le chemin de la mauvaise personne. As-tu des cours ? J’espère que non, de toute façon je ne te laisserais pas y allé. Oui j’ai vu que tu me regardais, que tu as regardé d’un œil désespéré le petit spectacle du hall. Je hais quand ton me tien tête, je hais quand on me parle mal, je veux être craint, je veux qu’on me respecte sans forcement respecté les autres… Dans les prochaines minutes je vais allé à ta rencontre, je m’approche de l’endroit ou tu étais, bizarrement tu te lève et change d’endroit. Tien tu es le premier a me tourné le dos alors que je m’approche. Te ferais je déjà peur ? N’as-tu donc pas envie de te mesurer a moi ?

Je suis juste derrière toi, ta façon de t’habillé, de te coiffer m’intrigue. Tu es grand, et plutôt fin, comment je le vois ? A tes bras qui ne son pas couvert, tu as les bras fin, de petits poignées et de long dois fin. Hummm tu dois pas être bien épais. Pourtant tu portes des vêtements très amples. Un t-shirt qui fais 5 fois ta corpulence, un baggy exactement de la même largeur, chercherais tu a caché le si peux de formes que le tout puissant ta donné ? Je trouve ça bête. Puis tu parles, une voix plutôt grave…
" -A quoi sa sert franchement de faire sa? Les gens...je ne les comprendrais jamais... "
Pourquoi fais tu comme si je n’entendais pas, pourquoi fais tu comme si je n’existait pas. Je suis si discret que tu n’as même pas remarqué que je te suive. Prend garde jeune homme, je risquerais de me vexé et de t’emprisonner dans mes griffes aussi rapidement qu’un aigle autour d’une proie, je suis vil, silencieux et rapide, il faut se méfier de moi. NE sais tu pas qu’il ne faut faire confiance a personne surtout pas a quelqu’un comme moi ? Je vais t’apprendre à être vigilant, à te faire comprendre ce qu’apparemment tu ne sembles pas comprendre. J’accélère l’allure, je suis tellement proche, et tu ne te retournes toujours pas, un sourire mauvais s’installe sur mes lèvres, je t’attrape le poignet t’arrêtant subitement dans ta course.

A quoi ça sert ? Je te tire d’un coup vers moi en te repoussant violement contre le mur le plus proche, je me mets devant toi mes yeux plantés dans les tiens. A t’apprendre ce que c’est que la vie. Une de mes mains se pose sur l’une de tes cuisses et resserre l’étreinte comme pour te pincer. Je remonte légèrement ma main pour atteindre un but précis puis fini par me décollé en me mordant l’index non je ne dois pas rigolé tout de suite. Tu ne semble pas être effrayé, c’est bête tu devrais… Tu veux que je t’apprenne pourquoi je ne suis pas un connard, et pourquoi on n’a pas le droit de me parler comme ça ?

Pourquoi tant de hâte est tu donc si pressé de me tourner le dos ? N’as-tu donc vraiment pas peur de moi ? C'est bête, tu devrais pourtant, je suis la dernière personne qu’il faut défié, la dernière personne a qui il faut tourné le dos, j’ai des connaissances que tu ignore des idées sadique que je rêve de t’infligé. Oui je suis complètement disjoncté, mais je suis intelligent. Tu as tord de me sous estimer, tu as tord d’agir comme tu le fait, tu doit me craindre, je vais tout faire pour que tu me craigne que tu sache enfin qui sera bientôt le maître de ses lieux après le directeur. Quoi que tu préférera nettement allé dans le bureau du dirlo que venir dans mon bureau a moi. Le bureau du directeur ne t’aura jamais paru aussi bénéfique même si c’est pour te mangé des heures de colles, bientôt tu les collectionneras les heures de colles. Tu préféra la compagnie des collé que ma compagnie. Prend garde, prend ton mal en patience, le jour ou je te tomberais dessus je ne donnerais pas chère de ta pauvre carcasse de rappeur bizarre. Le dernier qui s’en est pris a moi lui a fini en hôpital psychiatrique, mais comment m’inculpé de quoi que soit, je suis déjà un cas social, un délinquant qui sort de sa maison de redressement encore plus pourrit que quand il est entré. Pourquoi je n’ai pas été en taule ? Parce que le tourment morale est bien pire que le physique, le petit môme je l’ai achevé au points qu’il en devienne fou, je l’es tourmenté au points qu’il en pète un câble. Je vais te faire suivre le même chemin si tu me résistes …
« - Je devrais? Excuse-moi mais,je ne suis pas un gamin qui craint un mec comme toi qui fait autant pitié a montrer qu'il est le plus fort de tous. Tu te crois quoi? le nombril du monde? nan mais attend là faut te réveiller mon vieux! Tu sais,sa ne m'apprendra rien q'tu m'apprenne sa . T'es pas un agité du bocal toi par hasard? Excuse moi mais tu t'es peut etre trompé,l'asile c'est pas ici. »

Que de méchanceté dans ta bouche, mais elles ne m’atteigne pas. Je souris, un sourire mauvais, un sourire qui ne pressage rien de bon pour ta petite personne. Un agité du bocal ? Tu insinue que je suis complet dingue ? Mais tu as raison, un type comme moi n’a rien affaire dans une école normale. Pourtant je te suis en tout point supérieur. Je joue de n’importe quelle instrument comme un pro alors que mon instrument de prédilection est la batterie. J4ai sauté des classes, et je sais maintes chose que toi tu ignore. C’est pour ça que je suis ici. L’asile ? Je viens d’en sortir, ici, j’embrasse la liberté… Je te laisse parlé, je réfléchit a se que je pourrais te faire subir pour commencé. Dans un menu il y a toujours l’entrée, le plat de résistance et le dessert. L’entrée est fini je vais m’attaqué au plat de résistance…
« - Et arrete tes gamineries,provoquer ne sert a rien,juste a s'enfoncer et se crée une sale réputation,des idiot et malade mental comme toi,on n'en veut pas. Tu fait juste pitié a voir! »
Tu me tournes le dos ? Prend tu vraiment conscience de ce que tu fais ? Il faut croire que non, je te regarde partir, mettre les mains dans ton baggy. Je marche rapidement pour te rattrapé, t’attrape a nouveau par le bras et t’envoi plus violement contre le mur, je te regarde tombé a terre. Oups j’y suis peut être allé un peu fort. Avant que tu ne te relève j’en profite pour me rapproché et d’un geste rapide mais violent je t’appuis dans le creux du cou, près du nerf qui irrigue la jugulaire de sang. Tu commences à ressentir un certain manque d’air… Je te regarde victorieux toujours se sourire infecte et mauvais.

- On appelle ça un points de pression. La ou je t’ai appuyé c’est le sang qui irrigue ton cerveau, on peu appelé ça aussi un points vitaux utilisé dans le Dim Mak ou dans l’acupuncture. Je regarde ton corps convulsé par le manque de sang pourtant je ne te lâche pas je continue mon speech je veux te voir souffrir C’est dingue toutes les choses qu’on peu apprendre. C’est dingue toutes les choses Qu’un agité du bocal comme moi peu apprendre. Je te vois défaillir, tu ne va plus tenir longtemps, je te regarde devant mes yeux blanchir, je te regarde suffoqué, je regarde ton corps se convulsé dans les dernière force qu’il lui reste, pauvre chouchou dans quelle situation tu t’es mise.Tu as de la chance que j’aime faire souffrir et pas tuer. Je te rappuis sur un autre endroit du corps qui fait que la pression au cou est annulé et ton sang se remet peu a peu a parcourir tout ton corps et ton cerveau. D’un coup de pieds dans le flanc gauche je te fait allongé par terre, en m’asseyant sans retenu sur ton ventre Tu veux que je te montre autre chose aussi ? dans ma poche je sors mon petit canif. On ma dit que c’était interdit, mais qui a dit que les règle existait que pour être respecté ? Je ne respecte pas le règlement se canif personne n’a réussi a me l’enlever… je sort la lame et pose le bout froid tout contre ta joue. Que compte tu faire maintenant ? je saute d’un coup sur ton ventre de tout mon poids. REPOND !!

Ne vois tu donc pas que c’est ma manière a moi de te draguer de te dire que tu me plais ? Drôle de façon n’est il pas… et tu aurais raison parce que se n’est pas vrai. T’es mignon, c’est vrai mais pas suffisamment pour que j’arrête mes sévices sur toi. Un gars comme toi, ta juste envie de tiré ton coup avec une fois puis c’est bon on l’abandonne, n’empêche que j’ai bien envie de te goûter, oui juste une fois, voir ce que ça ferait ou ce que sa te ferais. Consentant ou pas, si tu savais, c’est vraiment le dernier de mes soucis. Si je dois te prendre, je te prendrais, n’ importe où, n’importe quand et autant de fois que ça me plaira. M’insulté, me supplié, ne servirait a rien, je n’ai aucun amour propre, et rien ne me fait culpabilisé, c’est dingue toutes les mauvaises chose que je peux gardé pour moi, c’est dingues tout ce que je peux faire subir aux autres sans que cela m’atteigne ou m’affecte. Y a des fois il m’arrive de me demain si je suis encore vivant ou simplement le fantôme de moi-même. Je fais tellement de chose bizarre et déroutante que c’est a se demandé si j’en mesure les conséquence ou la porter.

Je t’ai montré ce que je savais faire, et encore cela n’est que le début, tu risquerais d’être drôlement surpris de voir quel vice se cache encore sous mon petit visage d’ange. Je peux te faire pleuré, je peu te faire crié, je peu te faire regretté la vie. Je pourrai faire de toi tellement de chose. Chaque personne a un grand intérêt pour moi ça représente a animal de plus a étudié ou persécuté. C’est amusant la façon dont je voix la vie, ce qui est encore plus marrant c’est que personne n’a trouvé comment m’arrêté. La estime toi heureux je suis d’un calme à faire pâlir n’importe qui. Mais réveille le fou qui sommeil en moi et le hall se finira comme le fin fond d’une boucherie. Ton sang ornera les murs de cette école. Un sang si chère, si précieux détruit en un simple geste, j’ai juste a te trancher la carotide et tu n’existera plus, mais je ne le ferais pas, comme je te l’ai dit je joue mais ne tue pas. Tu es mon jouet, comme tous les autres, quand je me lasserais de toi je passerais a quelqu’un d’autre. As-tu un frère ? Une sœur ? Une copine ? Un copain ? Quelqu’un vers qui je peux me tourné pour te faire souffrir de plus bel ?

Je te regarde suffoqué, même sur le points de mourir je ne t’entend pas tenir, c’est bien j’adore savoir qu’on me résiste se faire directement supplié d’arrêté est d’un ennuis tellement profond. Enfin je mets fait ton calvert, je me suis installé sur ton ventre en espérant bien te faire mal sous mon poids. JE ne suis pas bien gros non plus, mais je sais faire mal et ou faut appuyé pou faire vraiment mal. Je t’égratigne la joue, tu grimace mais ne gémis ou ne pleur toujours pas. Tant pi je vais avoir recours a une autre alternative…
« - Arrete...t'es lourd...on dirais une grosse baleine qui m'écrase...Je sais pas... »
Vive le sens de l’humour, mein gott t’en a encore des comme ça ? J’arque un sourcil, mais c’est qu’elle arrive encore a parlé la victime. Au moment ou je m’apprête a te répondre tu m’attrape les cheveux et me les tire violemment en arrière, un cri de surprise échappe mes lèvres, je me cambre tellement en arrière que mon dos en craque lui aussi. Tu manque pas de courage, es tu fou ? Tu sais ce que tu viens de faire ? Je me mord la lèvre inférieur, puis faisant sauté le canif dans ma main la lame se retrouve direction vers ton bras. Tu es sur le points de m’arracher les cheveux et sans retenu je t’enfonce le bout de mon canif dans ton avant bras ce qui a pour effet que tu lâches immédiatement ton étreinte.

Tu ne manques pas de cran, j’aime les gens qui résiste, mais pas quand ils sont sur les points de me faire le coup du lapin. je me craque les cervicales, tu as bien faillit me les bloqué je vais te donné l’envie d’arrêté de joué avec tes mains. je soulève d’un coup ton t-shirt, dévoilant ton torse fin et blanc. Je passe le bout de mon doigt sur chaque abdos que je vois Tu connais l’elfique ? J’adore cette écriture je te regarde dans les yeux alors que toi tu es plus occupé avec ton bras qui saigne je vais te faire retenir mon prénom il posa le bout de la lame froide sur le torse du jeune homme et l’enfonça légèrement, mais suffisamment pour faire saigner. Ca commence par J puis il enchaîna sur une voyelle, en enfonçant encore plus profondément dans la chaire de sa petite victime Ensuite un E je regarde ton visage intérieurement je suis mort de rire et extérieurement je jubile… Pauvre de toi.

Tu as vraiment cru que je voulais sortir avec toi ? Prétentieux minable petit enfant tu n’a spas encore les atout qu’il faut et ou il l’es faut pour me faire crié. Ce n’est pas encore assez développé. Que tu étais suffisamment mignon pour que je couche avec toi ? Arrête ton charme mon cœur si un jour je couche avec toi se sera pour te violé et juste parce que j’aurais besoin du premier vide couille qui me tombera entre les mains. Mais je ferais exprès que ça soit toi. Oui je préfère être a 2 quel seul. Le manuel c’est bien une fois, 2 fois, 3 fois c’est gonflant. Alors qu’avec un compagnon même s’il n’est pas consentant c’est encore mieux. Tu dois trouver ça ignoble, mais même si c’est répugnant personne n’a jamais porté plainte contre moi pour viole. Même si c’est considéré comme un acte horrible, abominable pourtant c’est le fantasme de plusieurs personne, donc elle ne son pas consentante mais au fond elles aiment ça, elles le désire… Oui je ne choisi pas non plus mes victimes a l’arrache, je regarde, observe et agit… Tu me semble coriace j’aime les coriaces il ne craque pas facilement. A notre prochaine entrevu je ferais tout pour te faire crié, ohhh non ne t’inquiète pas je ne te ferais pas crié de plaisir ou de mal parce que je vais t’empalé, mais disons que je trouverais sévices a ton corps qui feront plus mal que la scarification de mon prénom.

Je commence a t’écrire JESSE en elfique comme ça personne ne pourra le lire a par moi. Et je suis sur que tu n’es pas du genre a balancé. Je pense que tu vas te plaindre à la personne qui t’est chère. Qui t’es le plus chère. Forcement quand vous allé couché ensemble… Oui tu n’a spas la tête d’un chaste désolé, il ou elle te demandera ce que c’est. Au début tu lui dira que ce n’est rien, mais cette personne va insisté et comme tu n’aime pas lui caché la vérité tu vas lui expliqué notre rencontre. Accentue, dramatise oui hyperbolise si tu veux. Pousse cette personne a me détesté, me haïr qu’elle vienne a ma rencontre pour me cassé la gueule, je voudrais la rencontrer… alors que j’étais sur le points de faire le S je m’arrête tien tu parle ? C’est bête tu parle mais tu cris pas dommage je trouverais le moyen de te faire crier
« - Sa te sert à quoi? a rien,franchement,c'est débile ce que tu fais. »
Peut être mais moi ça m’amuse Puis dans un mouvement héroïque tu parviens a me repoussé, je tombe a terre. Tu en profite pour te relevé. J’en fait de même en rentrant la lame de mon canif

T’as du courage de me résisté ainsi, on se reverra très vite j’en suis sur je m’approche a nouveau de toi. Tu ne recule pas tien tu n’a pas peur que je te face a nouveau mal ? Tu as raison je vais m'arrêté la pour aujourd’hui. J’attrape ta main blessé et appuis dessus pour que tu l’ouvres Douloureux n’est ce pas. Mais c’est rien comparé aux points de pression… Je te glisse dans la main le canif refermé, puis dessus j’y referme ta main je suis fou peut être bien. Mais garde toujours ça sur toi, a n’importe qu’elle moment, n’importe quel occasion il se peu que tu en est besoin… Ne le jette pas et ne crois que c’est un cadeau, un jour tu tombera sur bien plus cruel que moi peut être. Et tu pourras te défendre avec autre chose que tes poings *Je met les mains dans mes poches puis recul je ne me souviens plus très bien, mais au niveau du muscle du bras ou de sous l’aisselle si tu fais un points de pression assez fort sa stoppera l’écoulement du sang de ton bras… A la prochaine mon choux

On ne peut rien faire contre moi, mais ça tu ne le sais pas, tout du moins peut être pas encore. On me résiste, on me tien tête on se rebelle mai son ne peu m’éviter, je suis absolument partout ou tu ne t’attendra pas, je suis un mure, un arbre, un objet, je suis même l’air que tu respire. On ne peut se cacher de moi, et on ne peu m’éviter, je suis peut être violent, mais je te suis en tout points supérieur, je suis un manipulateur, un calculateur un grand stratège… Je ferais tout pour t’emmener dans un piège un endroit ou tu ne t’y attendra pas, un endroit que tu trouvera des plus bénin et c’est la ou mes griffes se refermeront sur toi. Ici bas ce que ut ne sais pas c’est que je sais tout ce que je veux à un point que je peux même te dire la dernière fois que la fille la plus insignifiante de l’école a été en zone rouge. Tu me pense indiscret pourtant je peux suivre les gens comme leur ombre sans même qu’il s‘aperçoive que je suis ou que j’existe. Je mène la vie dure a tous les gens de cette école tu n’es pas une exception, je vas réussir a te brisé le cœur ce n’est qu’une question de temps. Moi et mon esprit décalé on obtient toujours se qu’on veux des gens que l’on veut jusqu'à même m’en prendre a ton frère juste devant tes yeux et vis versa rien que pour avoir de vous votre colère, votre mépris, ne me sous estime pas Tom se serait la une bien grossière erreur, une école n’est pas si grande que ça, je sais tout sur tout il suffit juste de tendre l’oreille et écouté, les rumeurs vent et vienne je sélectionne celle que je veux… Et puis regarde toi, un pseudo ricain, beau gosse, qui se prend pour un pseudo rebelle de bas étage, j’ai juste a allé voir la première fille qui passe lui demandé si elle connais un tom correspondant a ta description et j’obtiendrais ce que je veux d’elle. Oui dit moi qu’elle fille ne craquerais pas pour un chose comme toi ?

Je sais ce que ça fait que abandonné alors qu’on est salement amoché lors d’une bagarre qui a mal tourné j’étais dans un état peut être bien pire que le tien, je saignais abondamment, j’avais une fracture a la jambe mais aussi au bras ainsi qu’une multitude de bleu au visage et sur le corps, avec tout ça j’ai perdu plus d’un litre de sang, ce qui était énorme pour un enfant de mon age. On m’a achevé en me portant un ultime coup a la tête, même s’il en faut bien plus pour se débarrassé de moi je l’ai très mal encaissé et réceptionné, j’ai donc après été laissé dans un couloir je me souvient plus du tout du pourquoi du comment de cette rixe, les causes qui ont entraîné es conséquences ni même le personne qui m’on infligé cela. Amnésie temporaire avait sortit ce con de médecin, ça fait 3 ans a présent et je ne m’en souvient toujours spas je me souvient juste de mon réveil, dans se lit blanc avec cette odeur d’hôpital nauséabonde me chatouiller les poils du nez, j’avais 4 perfusions une pour la transfusion de sang, pour les médicaments antidouleur, la nourriture et pour pouvoir pisser c’est la que j’ai décidé d’apprendre les points de pression, comme ça je sais ou appuyer pour arrêter les saignements. Le dim mak n’est pas que utilisé pour faire du mal, il est aussi utilisé pour faire du bien, principalement en acuponcture, mais moi je l’utilise à ma manière. M’enfin, c’est un grande partit pour ça que j’ai pitié des oiseaux blessé. J’aurais bien voulu qu’on eu pitié de moi se jour la quand je gisais comme un abrutit a moitié mort dans le couloir. Je t’aide a te relevé en te mettant une main autour de mon cou pour que tu puisse prendre appuis. Désolé je ne peux pas te porter, on doit faire le même poids toi et moi te porter m’est donc impossible si je ne veux pas être enseveli…
« - J'te laisserais pas t'approcher de mon frère...tu ne lui feras pas ce mal...je ne te laisserais pas faire! J'le protègerais de toi...Si tu le touche...tu le regrettera... »
Ainsi donc tu as un frère voila qui est intéressant, mais penses tu qu’il était intelligent de me le signaler ? Tu ne pense pas que te savoir a l’infirmerie je ne vais pas en profité pour allé l’aborder ? Absurdité, tu n’es qu’un imbécile Tom tu mets en danger une personne qui t’est chère juste pour me dire de ne pas le toucher ? Mais tu as quoi dans la tête ? Tu ne sais pas que quand on dit a un enfant de ne pas le faire c’est la première chose qu’il fait ? Je secoue furtivement la tête

Ah ouai ? Et qui va m’en empêcher ? Toi qui es a la base déjà incapable de te défendre ? Tu as du mourrons a te faire petit tom… avant de vouloir protéger ton frère commence déjà te protéger toi

A peine cette phrase murmuré je me prend un coup de point, il n’est pas spécialement fort mais dans le visage peut importe la force ça fait mal, je te lâche en tenant ma joue, tu es si pathétique, que ça en devient lassant. Je redresse la tête en te regardant appuyé sous ton aisselle, alors comme ça tu suis quand même mes conseil ? Y aurait il un cerveau caché dans cette amas d’espace vide ? Je suis étonné enfant une preuve de lucidité de ta part je commençais sérieusement a désespéré… Un sourire mauvais se dessine sur mes lèvre vu dans l’état ou tu es tu ne peu plus rien contre moi tu es trop faible, tu n’a spas peur mais je t’impressionne, oui je viens de t’apprendre l’existence du dim mak et que c’est a la porté de tout le monde de l’apprendre, je te regarde, te dévisage…

Empêche moi d’allé le voir alors, au points ou tu en est je l’aurais déjà défiguré avant même que tu es le temps de savoir ou je suis. Je suis curieux de savoir qu’elle tête il aura quand je marquerais son visage du sceau du diable je ris, d’un rire froid et méchant empêche moi tom, c’est excitant ceux qui résiste. 2 pour le prix d’un c’est toujours plus attrayant et ca me fera de nouvelle victime pour orné mon mur de chasse